Premier jour de repos depuis notre départ de Rio de Janeiro, il est temps pour nous de vous raconter nos 10 jours d’aventure vélocipèdique !
Dès le transport des vélos à l’aéroport d’Orly, le sport commence ! Le van étant trop petit en longueur, nos cartons dépassent des portières arrière et c’est avec une petite inquiétude que nous prenons l’autoroute, en tenant à la main les tendeurs qui soutenaient nos vélos brinquebalant dans le coffre !
Dès le transport des vélos à l’aéroport d’Orly, le sport commence ! Le van étant trop petit en longueur, nos cartons dépassent des portières arrière et c’est avec une petite inquiétude que nous prenons l’autoroute, en tenant à la main les tendeurs qui soutenaient nos vélos brinquebalant dans le coffre !
Le chargement des vélos dans la soute n’est pas triste non plus, et les hôtesses ne savent plus devant quoi s’étonner : nos 4 cartons de vélo, nos sacs Tati emballés par nos soins (c’est-à-dire assez sommairement) dans du cellophane, ou nos deux compères fraichement tondus.
Enfin la file d’embarquement !
Le transfert des vélos de l’aéroport de Rio est difficile, notre mauvais portugais n’aide pas à nous faire comprendre et nous découvrons qu’au Brésil, une hôtesse de taxi pourra nous dire qu’elle a la bonne taille de voiture pour nos vélo et nous faire attendre 20 minutes, jusqu’à ce que sa collègue nous avoue que finalement cette voiture espérée n’existait pas… !
Nous arrivons tout de même chez Caroline et Gery, qui prennent le risque d’accueillir 4 bonshommes suant et soufflant ainsi que tout leur barda dans leur bel appartement. Un grand merci à eux !
Le séjour à Rio est ponctué de beaucoup de pluie, mais la découverte de la ville n’en reste pas moins pleine de bonnes surprises ! Dès le deuxième jour, nous avons la chance de voir le match entre les deux grandes équipes de football (prononcer « foutcheball ») de Rio : le Flamengo et le Fluminense !
Nous arrivons tout de même chez Caroline et Gery, qui prennent le risque d’accueillir 4 bonshommes suant et soufflant ainsi que tout leur barda dans leur bel appartement. Un grand merci à eux !
Le séjour à Rio est ponctué de beaucoup de pluie, mais la découverte de la ville n’en reste pas moins pleine de bonnes surprises ! Dès le deuxième jour, nous avons la chance de voir le match entre les deux grandes équipes de football (prononcer « foutcheball ») de Rio : le Flamengo et le Fluminense !
Nous n’oublions pas bien sûr de faire un tour sur les plages mythiques qui bordent Rio : Copacabana et Ipanema…
…et de randonner jusqu’au sommet des collines dites des « deux frères » qui surplombent la plus grande favela de Rio, Rocinha, et donne une vue imprenable sur la ville.
Nous nous rendons deux fois à la favela « Morro do Fuba » avec Justine, de l’association Terr’Attiva, pour présenter notre voyage aux enfants qui se retrouvent au centre de l’association. Les ateliers dessin que nous organisons sont pour nous l’occasion de découvrir la vie des enfants, mais aussi le climat d’insécurité qui règne à cause des rixes entre les différents gangs et milices.
La barrière de la langue ne nous empêche pas de nouer de bons contacts avec les enfants brésiliens : il faut dire qu’ils adorent qu’on les lance en l’air, surtout dans les bras du « gigante » (Goulven) !
Nous présentons notre atelier à deux groupes très différents : une petite équipe de 4 piles électriques, qui s’étonnent de nos habitudes culinaires françaises (escargots…grenouilles…), puis - le lendemain - un groupe de 24 énergumènes qui puisent toute notre énergie mais qui nous raconte leur Brésil de manière touchante : « je suis très fier de mon pays, parce qu’il y a le Maracaña (stade de foot local), le pao de acucar, et le Corcovado….même si j’aurais préféré que le Corcovado soit Mickael Jackson ! »
Enthousiastes, nous mettons même la main à la pâte…. N’hésitez pas à aller voir les œuvres des enfants brésiliens, déjà en ligne par ici !
La barrière de la langue ne nous empêche pas de nouer de bons contacts avec les enfants brésiliens : il faut dire qu’ils adorent qu’on les lance en l’air, surtout dans les bras du « gigante » (Goulven) !
Nous présentons notre atelier à deux groupes très différents : une petite équipe de 4 piles électriques, qui s’étonnent de nos habitudes culinaires françaises (escargots…grenouilles…), puis - le lendemain - un groupe de 24 énergumènes qui puisent toute notre énergie mais qui nous raconte leur Brésil de manière touchante : « je suis très fier de mon pays, parce qu’il y a le Maracaña (stade de foot local), le pao de acucar, et le Corcovado….même si j’aurais préféré que le Corcovado soit Mickael Jackson ! »
Enthousiastes, nous mettons même la main à la pâte…. N’hésitez pas à aller voir les œuvres des enfants brésiliens, déjà en ligne par ici !
Après 4 jours à Rio, nous nous décidons enfin à enfourcher les vélos. Nous essayons au maximum de longer la côte afin de profiter du paysage, quitte à rallonger un peu le parcours. Malgré tout, nous finissons par atterrir sur la mythique route 101, unique route qui longe la Costa Verde de Rio à Sao Paulo.
En banlieue de Rio, le premier soir, nous faisons les courses au supermarché, et ayant sûrement l’air un peu perdus avec notre carte, un brésilien vient nous voir et nous propose d’emblée de dormir chez lui. Anselmo et sa famille nous font un accueil digne de rois, et nous passons notre première nuit sur la route dans de vrais lits !
Nous repartons après une nuit pleine de moustiques pour aborder la Costa Verde, avec ses paysages à couper le souffle.
A Mangaratiba, nous sommes de nouveau accueillis par un cyclotouriste brésilien qui nous prête un local vide pour la nuit. Pour nous protéger des moustiques, nous dressons la tente dans la maison et faisons cuire nos pâtes au réchaud à l’intérieur… !
Nous repartons après une nuit pleine de moustiques pour aborder la Costa Verde, avec ses paysages à couper le souffle.
A Mangaratiba, nous sommes de nouveau accueillis par un cyclotouriste brésilien qui nous prête un local vide pour la nuit. Pour nous protéger des moustiques, nous dressons la tente dans la maison et faisons cuire nos pâtes au réchaud à l’intérieur… !
Troisième jour en selle : nous battons notre record avec 101 km dans la journée ! Epuisés des montées et descentes incessantes, nous plantons nos tentes sur la plage, entre une centrale nucléaire et un rassemblement de motards…
Nous arrivons à Parati (« Paratchi » !), petite ville assez touristique où nous plantons la tente pour 2 jours, afin de récupérer un peu de la semaine. Le soleil est enfin revenu, et nous en profitons pour laver nos précieuses montures et nos vêtements collants de sueur. En direct depuis le « dog fighter », charmant cybercafé local !
A très vite pour de nouvelles aventures….
A très vite pour de nouvelles aventures….